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LE STRESS, BURN OUT, DEPRESSION
Chacun d’entre nous a ou a connu du stress de manière plus ou moins permanente et intense. Lorsque l’on est stressé, cela perturbe notre vie quotidienne et impacte notre santé. Le stress a des conséquences physiologiques et psychologiques, mais il n’est pas une fin. Le stress peut être lié à la dépression et inversement. Dans les 2 cas, cela peut emmener au burn-out.
1 – Définition
2 – Les différents types de stress
Stress aigu
Stress aigu épisodique
Stress chronique
Stress psychologique
3 – Causes
4 – Phases
Réaction d’alarme
Résistance
Épuisement
5 – Symptômes
Troubles physiologiques
Troubles psychologiques
6 – Pathologies associées
7 – Traitement
1 – Définition
Le stress désigne le mécanisme psychologique mis en œuvre par l’organisme pour faire face à une situation particulièrement éprouvante. Il est un ensemble de réactions de l’organisme lorsque celui-ci est soumis à des contraintes. Ainsi, il peut survenir en réponse à n’importe quel type d’agression, que ce soit une infection, ou une pathologie organique, ou encore un symptôme isolé, mais aussi un problème d’ordre psychiatrique, ou enfin un désordre physiologique. Dans l’ensemble, ce terme est plus souvent employé dans le sens d’anxiété ou d’angoisse et ainsi se rattacher à une part plutôt psychologique ou oxydative et alors se rattacher à un dérèglement de la chimie corporelle.
Qui peut en être impacté ?
Le stress peut atteindre toute personne, quelque soit son âge, de manière épisodique ou parfois quotidienne devenant un véritable handicap dans la vie. Il correspond à des réactions de l’organisme apparaissant dès que le corps est face à un changement de situation brutale. Il réagit contre ce qu’il ressent comme une agression ou une pression. Chaque personne réagit de façon personnelle et adaptée à un évènement qu’il considère comme traumatisant. Le stress correspond souvent à des tensions provoquées par des conflits personnels non résolus ou subis, voir les deux en même temps.
Une situation prolongée de stress peut conduire à un épuisement psychique et physique. Il peut être un facteur déclenchant de diverses pathologies, comme par exemple la dépression, le burn-out, les maladies cardio-vasculaires, les problèmes de peau, les douleurs physiques, les problèmes de sommeil, la migraine et bon nombre d’autres maux encore…
Au travail :
D’un autre côté, le stress provoqué par le travail est la première cause d’arrêt de maladie. Ainsi, le terme de surmenage et de burn out est alors souvent employé.
Dans le système nerveux :
Par contre, le stress entraine un déséquilibre du système nerveux : il stimule le système nerveux hypothalamo-hypophysaire et surrénalien. L’hypothalamus forme avec l’hypophyse sous-jacente un ensemble fonctionnel appelé complexe hypothalamo-hypophysaire ou CHH. En effet, l’hypophyse est une glande endocrine, qui est composée de deux lobes. Le système sympathique, responsable de nombreuses activités indépendantes de la volonté est alors stimulé provoquant une libération d’adrénaline à l’origine notamment d’une augmentation de la fréquence cardiaque. Par ailleurs, le stress peut être passager et survenir de façon isolée. Néanmoins, le stress peut également se prolonger de façon chronique et handicapé fortement la vie quotidienne.
2 – Les différents types de stress
Le stress aigu
En premier lieu, il s’agit du type de stress le plus courant. Sa durée est limitée et il trouve son origine dans les tracasseries quotidiennes. Vous devez remettre un travail à brève échéance, êtes tendu avant une compétition ou n’avez toujours pas trouvé de cadeau pour l’anniversaire d’un(e) ami(e) ? Toutes ces situations sont liées au stress aigu.
En fin de compte, le stress aigu reste bénéfique, voire excitant, à petites doses et n’affecte les personnes que sur le court terme ainsi vous évitez tous les troubles graves liés au stress à long terme. Les symptômes les plus fréquents sont les changements d’humeur, les problèmes musculaires et l’accélération du rythme cardiaque.
Le stress aigu épisodique
Dans un deuxième temps, une répétition trop fréquente du stress aigu peut mener à un sentiment d’anxiété, de démotivation, d’irascibilité ou de pessimisme. Le stress aigu épisodique est propre aux personnes obnubilées par leurs activités et toujours pressées d’accomplir le maximum de tâches en un minimum de temps. Mais également par la peur comme celle vécu en année 2020 et 2021 en lien avec le virus du Covid 19, alimenté sans cesse par les différents médiats et réseaux sociaux qui diffusent des informations qui peuvent être non vérifiées, voir non complètes. Et tout ceci afin de générer volontairement cette peur. Une telle attitude est généralement vouée à l’échec, ce qui accentue la tension des personnes concernées. Et donc leur manipulation.
Comment ce manifeste-t-il ?
Ce type de stress se manifeste également par une sensation de tiraillement constant. Ainsi, l’avenir n’est perçu que de façon pessimiste, chaque situation se terminera forcément mal et les catastrophes nous guettent sans cesse. Ce genre de pensées envahit les personnes souffrant de stress aigu épisodique et s’accompagne généralement d’un état dépressif.
Pour en guérir, l’intervention d’un professionnel s’avère indispensable.
Les personnes atteintes par le stress aigu épisodique ne se rendent souvent pas compte que leur rythme de vie n’est pas tenable à terme. En effet, elles considèrent leur mode de vie comme normal, ce qui complique le processus de prise de conscience de leur condition. Il est dès lors difficile de les convaincre de suivre un traitement ou de modifier leurs habitudes.
Le stress chronique
Dans un troisième temps, le stress chronique représente la forme de stress la plus accablante. Ses effets négatifs sur votre corps et votre esprit s’intensifient au fil du temps, au point de provoquer des maladies cardiaques, des crises violentes et parfois une envie de mettre fin à ses jours. Cette forme de stress perturbe la vie quotidienne de la personne concernée et lui donne l’impression qu’aucune solution ne sera bénéfique pour améliorer sa condition.
Qui sont-elles ?
Les personnes enclines au stress chronique sont celles victimes de graves problèmes financiers, professionnels ou familiaux. Un traumatisme physique ou émotionnel – souvent survenu dans l’enfance, ou en mémoire pendant la grossesse ou en mémoire générationnelle ou encore en mémoire karmique – est à l’origine de ce type de stress. Les personnes souffrant de stress chronique s’imaginent que leur situation est naturelle et qu’elle les poursuivra toute leur vie. À tel point qu’elles finissent par s’accommoder par cette anxiété constante et refusent tout traitement.
Le stress psychologique
Et enfin dans un quatrième temps, le stress psychologique se concrétise par la perte de l’habileté d’une personne à répondre à une situation donnée. Notre organisme de base n’ayant pas été conçu pour gérer ce type de stress, il lui devient difficile d’évacuer ce surplus d’énergie, même via l’effort physique.
L’anxiété chronique ou un traumatisme émotionnel grave sont les principaux symptômes de cette forme de stress. Pour retrouver le contrôle de sa vie, la recherche d’une aide extérieure devient une nécessité absolue.
3 – Causes
Les causes du stress peuvent être lié par à une problématique émotionnelle et/ou physique et/ou mentale. Dans la quasi intégralité des cas, cela déréglera notre chimie du corps et ainsi provoquer des maux physiques, socio-psychiques (la cause la plus fréquente) ou bien également la maladie génétique, virale ou parasitaire. Dans tous les cas de figure, la situation de stress provoque une accélération du rythme cardiaque et la baisse du taux de glucose dans le sang.
Pour la partie chimique :
Pour la partie chimique du corps, le stress impacte plusieurs choses dans l’organisme comme par exemple sur la flore intestinale en créant une pathologie comme la candidose et/ou aussi par exemple un dérèglement de la glande thyroïde ou les glandes surrénales, voir les deux en même temps. Ces mêmes glandes gèrent la dopamine qui est fabriqué principalement par les intestins. Cette dopamine est un neurotransmetteur, situé dans la partie frontale du crâne et qui régule deux hormones qui sont l’adrénaline et la noradrénaline. Pour lutter face à ce stress, l’organisme réagit en libérant de l’adrénaline qui va oxygéner les muscles, ainsi que d’autres hormones. Selon les personnes, le stress peut conduire à l’épuisement physique et/ou moral, puis à la dépression voire au burn-out.
Le faux allié :
Les sucres seront votre plus grand soutient en apparence, mais qui accentueront intérieurement votre chute et l’augmentation du stress. En effet, les sucres vont contribuer à la destruction de votre flore intestinale et saturer vos glandes surrénales… Le cercle infernal attaque.
Mais l’impact chimique va toucher également la sérotonine et le Gaba. Au total, 3 neurotransmetteurs sur 4.
Pour la partie émotionnelle :
Pour la partie émotionnelle et/ou physique et/ou mentale, le stress impacte nos énergies. Tous les organes ont un méridiens (à droite et à gauche) ou il circule nos énergies. Ces énergies peuvent être bloquées ou perturbées par une situation vécue. Cette situation à une cause et une conséquence. Les deux peuvent être très espacées dans le temps. En effet, la conséquence, c’est ce que je vies, alors que la cause peut être bien plus lointaine. Cette cause est très généralement en lien avec une mémoire dans notre organisme qui peut venir d’un évènement vécu directement ou indirectement.
C’est à dire :
C’est-à-dire, un évènement direct c’est la personne qui le vie, indirectement la personne le vie à travers une autre personne. Cette mémoire peut avoir plusieurs origines possibles. Soit c’est une mémoire d’un évènement ou situation vécu depuis que l’on a poussé notre premier souffle, soit c’est en lien avec notre grossesse quand nous avons été dans le ventre de notre mère, soit en lien avec les mémoires générationnelles transmises par nos parents et nous avons les mémoires sur 7 générations cotés papa et maman y compris oncle tante cousin cousine, etc… et enfin soit avec les mémoires karmiques, c’est-à-dire nos vies passées. Ce qui veut dire que la situation actuelle (la conséquence) ne pourra être retiré complètement qu’en travaillant la cause, le pourquoi et quand. Travailler uniquement la conséquence, ne fera que déplacer le ou les maux.
Le manque d’ancrage :
Le manque d’ancrage, total ou partiel augmentera ces déséquilibres énergétiques. Cet ancrage ou enracinement est en lien avec vos racines qui contribuent à votre stabilité face aux évènements que vous vivez. Ce manque d’ancrage augmente les peurs, le manque de confiance en soi, l’insécurité personnel ou professionnel, etc. Il participe à la baisse de vos énergies vous limite ou bloque dans l’augmentation de votre taux vibratoire. Pour rappel, la maladie est une énergie qui a une vibration basse, environ 4 000Hz, et une personne « normale » devrait être à plus de 8 000 Hz.
4 – Phases
Le stress peut atteindre toute personne, épisodiquement ou parfois quotidiennement devenant un véritable handicap dans la vie. Le stress correspond à un ensemble de réactions du corps qui apparaissent lorsque l’organisme est soumis à un changement de situation brutale. Le corps réagit contre ce qu’il ressent être comme une agression ou une pression. Selon les travaux de Hans Selye datant de 1975, (médecin québécois fondateur et le directeur de l’Institut de médecine et chirurgie expérimentale de l’Université de Montréal et un pionnier des études sur le stress), il existe 3 phases dans la réaction au stress : la phase d’alarme, la phase de résistance et la phase d’épuisement.
Réaction d’alarme
La réaction d’alarme est la première phase du processus de stress face à l’agression, au cours de laquelle apparaissent les premières manifestations : respiration courte et accélérée, augmentation des battements cardiaque, augmentation de la tension artérielle, boule à la gorge ou à l’estomac, anxiété, angoisse…
Ces réactions sont provoquées par la libération d’hormones, comme l’adrénaline (hormone géré par le neurotransmetteur de la dopamine) avec un délai d’action est de quelques minutes et dont la fonction est de préparer le corps à une action rapide.
Résistance
La résistance correspond à la seconde phase du processus d’adaptation au stress. Lors du prolongement de l’agression, la réaction d’adaptation provoque la mise en place d’un processus de résistance face à la situation d’agression.
Cette étape prolongeant la première phase va ainsi permettre de préserver l’organisme de l’épuisement en compensant les dépenses énergétiques occasionnées pour faire face au stress. D’autres hormones, les glucocorticoïdes, qui sont des corticoïdes (cortisone et cortisol), sont ainsi sécrétées au cours de cette étape permettant une augmentation du taux de la glycémie nécessaire à l’organisme, au cœur, au cerveau et aux muscles.
Au cours de cette phase, les sujets atteints adoptent des conduites différentes : certains se préparent à affronter le stress, d’autres continuent à vivre comme s’il n’existait pas en faisant la politique de « l’autruche » ou alors évitent les situations pouvant le provoquer.
Épuisement
L’organisme, débordé et sollicité en permanence par la situation de stress qui se prolonge et s’intensifie, ne réussit plus à mobiliser ses ressources et s’épuise. Il ne peut plus faire face aux agressions en raison de leur intensité. L’organisme craque, ne réussissant plus à faire face à toutes ces agressions. Les réserves psychiques et biologiques sont épuisées. C’est au cours de cette phase d’épuisement que peuvent apparaître certaines pathologies obligeant l’arrêt de l’emballement de l’organisme.
5 – Symptômes
Les symptômes provoqués par le stress sont très variables, nombreux et d’intensité plus ou moins violente. Ils varient d’une personne à l’autre, chaque personne ayant très souvent « son ou ses propres symptômes ».
Pour certaines personnes, la migraine ou les maux de tête (principalement sur la partie frontale du crane) seront leurs manifestations principales, pour d’autres ce sera plutôt l’eczéma ou des insomnies. Certains individus stressés peuvent également présenter plusieurs manifestations associées. La fatigue physique et/ou mentale peut représenter également une manifestation d’un stress chronique. Ce stress peut donc provoquer des troubles physiologiques et/ou psychologiques.
Troubles physiologiques
Le stress se traduit généralement par des troubles physiologiques tels que des troubles digestifs. Ulcères, nausées et vomissements sont des symptômes digestifs courants déclenchés par le stress. Ces symptômes peuvent également être des troubles cardiovasculaires, comme une augmentation de la fréquence cardiaque avec cette sensation d’accélération des battements cardiaques, des palpitations, une hypertension artérielle ou encore une augmentation du cholestérol oxydatif. Mal de tête, crises de migraine sont également des symptômes fréquemment déclenchés par le stress. Ils sont parfois accompagnés d’hyperventilation (souffle court et rapide), de transpiration, mains moites, mauvaise haleine et diarrhée. Les épisodes de stress déclenchent souvent insomnies et cauchemars.
Troubles psychologiques
Irritabilité, angoisse, tics, nœuds dans la gorge, colère, épisodes de panique, dépression peuvent également apparaître et aller jusqu’au burn-out. Des troubles du comportement peuvent également apparaître comme des changements d’humeurs fréquentes, une susceptibilité, des difficultés de concentration ou des difficultés relationnelles avec ses proches ou ses collègues de travail… Ces troubles s’accompagnent de modifications de certaines habitudes : augmentation de la consommation de sucre, tabac, d’alcool et autres addictions. Modifications de ses habitudes alimentaires avec prise de poids et pour certains l’inverse.
6 – Pathologies associées
Le stress est un facteur de risque pour certaines maladies de peau comme l’eczéma ou urticaire, … Par ailleurs, mal de dos et tensions musculaires peuvent représenter des signes du stress. Angines, herpès, grippe et autre maladies comme la Covid 19 apparaissent plus fréquemment chez les personnes stressées. Les cheveux sont également particulièrement exposés au stress, ce qui peut se traduire par une chute de cheveux chez l’homme comme chez la femme. Impuissance ou absence de désir chez l’homme ou la femme peuvent traduire un stress sous-jacent. Les règles peuvent devenir irrégulières chez la femme. La prolactine est une hormone peptidique sécrétée par les cellules lactotropes de la partie antérieure de l’hypophyse. Ses rôles sont multiples, elle intervient notamment dans la lactation, la reproduction, la croissance, l’immunité et le comportement. La prolactine participe donc au contrôle des naissances en bloquant l’ovulation lorsque la maman nourrit son bébé au sein tout au long de la journée et au développement de la croissance des glandes mammaires avec les œstrogènes et la progestérone.
Prudence :
Toutes les manifestations précédemment citées peuvent également être les signes d’autres maladies. Seul votre médecin pourra vous confirmer les liens entre vos symptômes et le stress.
7 – Traitement
Le stress doit faire l’objet de séance dans une globalité.
C’est-à-dire, qu’il doit être contrôlé la partie chimique de notre corps (Acidose, candidose, carence, neurotransmetteurs, etc…) ainsi que la partie émotionnelle et mentale. C’est un tout, car l’un entraine l’autre et inversement.
1 – Pour la partie biochimique :
Pour la partie chimique du corps, des compléments alimentaires à base de plantes, ainsi qu’une modification éventuelle des habitudes alimentaires, seront nécessaires pour corriger votre ou vos déséquilibres chimiques corporels. Dans tous les cas, la consommation de magnésium marin + B6 + Rhodiola sera le minimum à faire, ainsi qu’un nettoyage de la flore associé à la consommation de pré-biotique (ou de fibre végétale) et cela par cycle de 28 jours. Ne surtout pas consommer de Pro-biotique, vous nourrirez votre candidose…
2 – Pour la partie énergétique :
Pour la partie émotionnelle et mentale, c’est à travers une ou des séances qui permettront d’en retirer la cause et la conséquence de cet état de stress. Cette origine peut être connue ou non par votre conscient. Mais dans tous les cas, votre inconscient sait tout !
Un travail régulier et journalier de votre ancrage est nécessaire. Et pour ceux qui le souhaitent, j’ai créé un stage dédié à cette pratique sur une demi-journée.
Un atelier « Anti-stress » a été développé pour vous aider à le gérer dans votre quotidien avec des petits exercices.
Dans tous les cas, il y a des solutions pour les personnes qui souhaitent traiter leur stress !
